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Les Annales n° 25. Elles présentent les textes journalistiques d’Aragon publiés en 1935 dans L’Humanité, Commune,Vendredi, Monde, L’Œuvre, Vendredi et Europe. Un ensemble de plus de 250 pages, présenté et annoté, qui est suivi d’une très opportune étude de François Albéra : « Manouchian, Aragon et les derviches tourneurs » dans lequel l'auteur fait le point sur la nature et les objectifs des diverses polémiques qui ont fleuri une fois de plus contre Aragon lors de l’entrée de Missak Manouchian et sa femme Mélinée au Panthéon. 

 




Quand Aragon chantait l’amour, essai sur les romans du Monde réel par  Pierre Jeanneret. Docteur es lettres, auteur en 1969 d’une étude universitaire L'amour chez Aragon prosateur, Pierre Jeanneret a été pendant trente ans professeur au lycée de Montbenon en Suisse. Il est l’auteur de nombreux ouvrages historiques et politiques sur le mouvement ouvrier de Suisse dont le Parti socialiste suisse et le Parti Ouvrier Populaire vaudois. Il a aussi consacré un ouvrage à la vie et l’œuvre de l’écrivain suisse Michel Buenzod.

La brochure de 60 pages peut être acquise en s’adressant à l'auteur : jeanneret.p@bluewin.ch

 


Temps, mémoire et histoire dans l’œuvre d’Aragon de Suzanne Ravis-Françon aux Éditions de l’Harmattan.

Eminente chercheuse et spécialiste de l’œuvre d’Aragon, Suzanne Ravis-Françon, ancienne élève de l’ENS, a été professeure à l’Université de Provence. Elle a dirigé diverses équipes de recherches (CNRS, Université).  

En attendant de pouvoir en faire la  présentation qu’il mérite, nous reproduisons  le texte de la 4ème de couverture de l’ouvrage.

 

« Dans ses premières œuvres, Aragon se livre à une critique radicale du temps au profit d’une instantanéité, seule forme « concrète » du temps. Très vite pourtant il découvre le dénuement d’un instantané sans ancrage temporel où l’identité même du sujet devient incertaine. L’amour permet de conjurer l’effritement du présent mais ouvre sur la hantise de l’oubli et de la mort. Seule la découverte des autres, de tous les autres et de l’Histoire peut inscrire la finitude du couple dans un horizon qui la dépasse, même quand cet horizon devient tragiquement un « inatteignable été ».

 

Peut-on parler d’un temps aragonien ? Cette œuvre témoigne d’une attention soutenue aux possibilités qu’offre à un écrivain l’exploitation de toutes les formes de temporalité. C’est que la forme romanesque, forme la plus libre, est aussi celle qui compose, à travers le récit d’une fiction ce que Paul Ricoeur désigne comme une « expérience fictive du temps ».

 

C’est pourquoi on trouvera dans ces études le souci constant de cerner ce qui se passe dans le texte et ce qui passe d’un texte à l’autre, croisant, dans les dernières œuvres, la reprise des idées et des images de la période surréaliste avec la recherche de formes narratives renouvelées. »


François EYCHART

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